5.1 Mettre fin, dans le monde entier, à toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et des filles
5.2 Éliminer de la vie publique et de la vie privée toutes les formes de violence faite aux femmes et aux filles, y compris la traite et l’exploitation sexuelle et d’autres types d’exploitation
5.3 Éliminer toutes les pratiques préjudiciables, telles que le mariage des enfants, le mariage précoce ou forcé et la mutilation génitale féminine
5.4 Faire une place aux soins et travaux domestiques non rémunérés et les valoriser, par l’apport de services publics, d’infrastructures et de politiques de protection sociale et la promotion du partage des responsabilités dans le ménage et la famille, en fonction du contexte national
5.5 Garantir la participation entière et effective des femmes et leur accès en toute égalité aux fonctions de direction à tous les niveaux de décision, dans la vie politique, économique et publique
5.6 Assurer l’accès de tous aux soins de santé sexuelle et procréative et faire en sorte que chacun puisse exercer ses droits en matière de procréation, ainsi qu’il a été décidé dans le Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement et le Programme d’action de Beijing et les documents finaux des conférences d’examen qui ont suivi
5.a Entreprendre des réformes visant à donner aux femmes les mêmes droits aux ressources économiques, ainsi qu’à l’accès à la propriété et au contrôle des terres et d’autres formes de propriété, aux services financiers, à l’héritage et aux ressources naturelles, dans le respect du droit interne
5.b Renforcer l’utilisation des technologies clefs, en particulier l’informatique et les communications, pour promouvoir l’autonomisation des femmes
5.c Adopter des politiques bien conçues et des dispositions législatives applicables en faveur de la promotion de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de toutes les femmes et de toutes les filles à tous les niveaux et renforcer celles qui existent
Une tribune de Sébastien Chaillou, Président de la coopérative Solidarité Étudiante.
Dans un contexte ou la précarité accompagne les jeunes durant leurs études et souvent même au delà, l’ESS est un outil dont une génération d’étudiant∙e∙s doit pouvoir s’emparer.
Un article repris du site "le Labo de l’ESS", un site sous licence Creative Commons
La mise en commun de ressources, même faibles, dans un cadre d’auto-organisation permet aux étudiant∙e∙s de répondre à leurs besoins. C’est sur cette base, par exemple, que Solidarité Etudiante a été créée en 2013. Nous n’acceptions pas que nos besoins vitaux, comme le logement ou la (…)
L’association Association Définition Optim-ism qui fait partie du réseau Jardin de Cocagne, expérimente la livraison de paniers de fruits et légumes auprès des étudiants, à l’Université de Bretagne Sud (UBS) de Lorient. C’est l’une des actions développées par l’association pour toucher un public le plus large possible sur les circuits courts Circuits Courts Définition du concept de circuits courts solidaires et l’agriculture biologique.
Optim-ism fait partie des initiatives qui construisent des ponts entre une diversité d’acteurs : collectivités, universitaires, particuliers, populations en difficulté, monde agricole, milieu de (…)
Parce que cette approche économique répond à des enjeux de santé, logement, alimentation, financement et entrepreneuriat, ainsi qu’à des aspirations en matière de pratiques culturelles et sportives, d’usages numériques ou d’engagement citoyen, l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) s’avère un formidable levier pour la vie étudiante. Elle présente aussi des perspectives de formations et d’emplois, avec des débouchés dans de nombreux secteurs pour les jeunes en quête d’avenir. Publié le 25 octobre 2016 et repris sur http://www.lelabo-ess.org/l-ess-permet-de-pallier-de-nombreux-besoins-de-la.html
L’entrée dans la vie étudiante est une (…)
Quand tout semble mal aller, cherchons des signaux positifs. Le financement de l’ESS ESS Qu’est-ce que l’Économie sociale et solidaire (ESS) ?
Définition et présentation de cette économie différente, socialement utile, coopérative et ancrée localement est de ceux-là. Ça progresse ! Trois avancées significatives marquent les dernières années de l’ESS française : sa notoriété-attractivité, la loi cadre définissant son périmètre et son accès plus facile aux financements.
Ce qui avance concerne les financements en haut et bas de bilan, en dehors des financements subventionnels publics, notamment pour les associations. La Loi de 2014 a (…)
En 2017, 41,3% des acteurs de l’ESS ESS Qu’est-ce que l’Économie sociale et solidaire (ESS) ?
Définition et présentation de cette économie différente, socialement utile, coopérative et ancrée localement déclaraient mener des démarches d’évaluation de leur impact social et 27,5% envisageaient d’en mettre en place dans un futur proche d’après le baromètre de la mesure d’impact social de KPMG.
L’évaluation s’est développée ces dernières années dans le monde de l’ESS et nombreuses sont les structures qui souhaitent à la fois mesurer l’impact social de leurs actions et se servir de ces outils pour valoriser auprès de leurs partenaires (…)
Recommandations aux collectivités pour le développement des services d’autopartage en boucle – plusieurs documents
Cette étude menée en 2016 constitue une mise à jour de la première édition de l’Enquête Nationale sur l’Autopartage qui avait été réalisée en 2012 et constituait la première enquête d’envergure sur les usagers, usages et impacts de l’autopartage en France.
Menée auprès de 2 090 usagers abonnés à 20 services d’autopartage différents, elle montrait l’effet « déclencheur de multimodalité » de l’autopartage en boucle : l’autopartage permettait aux habitants des villes de s’affranchir de la voiture individuelle, de découvrir (…)
Une initiative de l’association CIRSES avec un résau de partenaires