Par Maurice Merchier. Construire une société convivialiste est un impératif catégorique : ce n’est rien moins que la survie d’une certaine idée de l’humanité, voire de l’humanité tout court, qui est en jeu. Le mouvement convivialiste est donc indispensable, car on n’aperçoit guère d’autre courant de pensée à la hauteur d’un tel défi. Pourtant, malgré le foisonnement des contributions, toutes aussi riches les unes que les autres, il est douteux qu’il soit encore suffisamment armé pour une telle mission. C’est sur le chemin qu’il lui reste à parcourir que portera cette réflexion. Prendre la mesure de la tâche
Le danger de l’entre-soi (…)