À l’université Paul-Valéry, pour le seul personnel, 24,5 millions de courriels, issus de 4 550 comptes, occupent un volume de 5 To sur les serveurs en 2022. Pour les étudiants, les chiffres s’établissent à 52 millions de courriels pour 1,3 To de données.
Pour mesurer l’impact de cette pollution, on utilise l’équation 1 Mo = 19g Eq CO² soit, un méga-octet de données pollue autant que le rejet dans l’atmosphère de 19g de gaz carbonique. Pour notre seule université, on obtient ainsi un total de près de 120 tonnes d’équivalent CO².
Depuis plusieurs années, le trafic numérique mondial est en très forte progression et le volume des données échangées sur les (...)